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La vie secrète des apprenants

Dispenser de la formation est une chose, captiver l’apprenant en est une autre. Et peut-être bien parce que lui, il n’a rien demandé. La raison ? Ce dernier est venu pour mener à bien une mission. Mais…

Superman a-t-il suivi un MOOC expliquant comment se changer rapidement dans une cabine téléphonique ?

Batman a-t-il suivi un parcours de formation intitulé « Les bonnes pratiques du Bat-Signal ? »

Quant à Spiderman, difficile de l’imaginer sur la toile (haha) entrain de googliser « Formations e-learning araignées »

Bref, l’apprenant salarié a envie de tâter du terrain, et n’avait sans doute pas imaginé que pour arriver à ses fins, il lui faudrait affronter plusieurs heures de formation avant de commencer.

D’où l’intérêt de bien cibler ses apprenants : leur âge, leurs centres d’intérêts, les modes de communication qu’ils utilisent, etc…

On ne cesse de parler pédagogie, mais s’il est une étape à ne pas négliger, c’est bien celle de la forme. Et soigner la ligne éditoriale comme le ton adopté, c’est prouver à l’apprenant que l’on est dans une transmission active des connaissances.

La formation présentielle a pour avantage de stimuler l’apprenant au travers d’un(e) formateur(trice) ayant la capacité de captiver son auditoire tout en rendant le contenu vivant.

Au tour du e-learning de donner vie aux parcours de formation en jouant la carte de la créativité ! Les réseaux sociaux, incontournables, peuvent s’avérer une grande source d’inspiration. Les formats courts qui y sont proposés, la dynamique des contenus diffusés, sont révélateurs des attentes du public. Et si une vidéo de chaton tombant des escaliers génère bien plus d’engouement qu’un module traitant de la sécurité au travail, cela démontre plus que jamais la nécessité d’ajouter un côté « récréatif » aux supports de formation.

Vos apprenants d’aujourd’hui sont vos héros de demain… Il suffit de leur en donner l’envie, et les moyens !